Ikuto croisa les bras et lui envoya un sourire hautain, Yuya se souciais plus de bien et du mal qu'elle semblait l'exprimer. Elle était un bon défouloir. Les inquiétudes du chasseurs étaient bien plus complexes que ce qu'elle pourrait trouver en se basant sur ses principes stupides. A ce jeux il était certain d'avoir un net avantage. Il avait été insensibilisé à ce qui pouvais en choquer d'autre depuis son plus jeune âge. Le garçons était élever dans le simple but d'être une arme parfaite et un héritier efficace pour son père. Même si ce dernier semblait avoir beaucoup d'affection pour lui, il l'avais conditionner pour être un espèce de psychopathe sans grand états d'âme. Le peu d'humanité qu'il restait au garçons résidait simplement dans le fait que son éducation n'était pas encore terminée.
"Mon peuple? Ce n'est pas mon peuple, je n'ai pas à les protéger, Oto leur offres protection et logement en échange leur vie et leur destin nous appartiens. Si les soldats d'Oto se soucie de la souffrance superflue des orphelins de guerre qui ne sont que des éléments faibles c'est que eux même sont trop faible pour survivre et se feront éliminé pendant la guerre. C'est la sélection naturel seul les forts survives. Les orphelins et ceux qui souffrent et n'ont plus rien d'autre que leur vie n'ont pas d’intérêt. Personne n'a de valeur sans la force ici comme partout ailleurs. Quand tu aura compris ça tu sera asse forte pour mérité le fait d'être encore en vie. Si je me souciais des souffrances des autres et de le leur évité je n'aurais pas cette force et cette valeur pour Oto. Je suis important parce-que je suis une force du village et que je pourrait nous amener à la victoire. On a pas besoins de bouches inutiles à nourrir ici."
Il la regarda attentivement. Yuya mettait toute sa fierté dans ce jeux stupide. Elle ne gagnerais jamais contre lui sur ce terrain, c'était le sien. C'était celui de son père et maintenant aussi le sien, il avait appris très vite que la force brute et le chackra n'était pas le seul moyen d'obtenir une victoire.
"Qui te dit que je compte faire quoi que ce soi de toi? Ne me confond pas avec mon père je ne prend pas de plaisir dans le viol. Je te signalais juste que si c'était le cas je pourrait te faire tout ce que je veux même les choses les plus répugnantes et avilissante même contre ta volonté et tu n'aurais absolument aucun moyen de m'en empêcher sans te faire tuer ou déserté. La seul conclusion de ce jeux sera que tu es plus faible que moi et que tu es juste incapable de faire quoi que ce soi contre moi même si je te laisse faire. Tu ne m'atteindra jamais mes dernier pleures remonte à l'âge ou je ne savait même pas encore parler. Je suis au dessus de toutes ta considération de ce qui est bon ou mauvais. Je me fiche éperdument de tes préoccupations inutiles."